Après un temps de réflexion, le projet Au Pair de Mathilde est devenu clair. Mathilde adorait les enfants, elle souhaitait faire une pause dans ses études pour voyager et apprendre l’anglais. elle se posait des questions, mais quand elle a pris connaissance de notre programme, tout s’est éclairci : « La solution au pair m’a alors sauté aux yeux, dit-elle, tous les critères étaient réunis, et je me suis donc lancée dans cette aventure à la fois un peu folle et extraordinaire. » Après quelques mois sur place, elle revient sur le « Pourquoi L’Amérique au Pair ? », sur l’expérience du « matching » et sur la belle découverte de l’Idaho. .
L’Amérique au pair / 3.14 — Pourquoi es-tu partie au pair ?
Mathilde — Dans un premier temps, pour découvrir une nouvelle culture. Je suis une personne qui adore voyager aux 4 coins du monde, découvrir de nouveaux environs et des manières de vivre différentes de la mienne. Et puis, je voulais prendre du temps pour moi et faire un break dans mes études. J’ai alors regardé les différentes options qui se présentaient à moi. Cette solution de devenir Au Pair m’a sauté aux yeux. J’adore les enfants, et par ce biais, je pouvais à la fois découvrir le monde et apprendre l’anglais : tous les critères étaient donc réunis, alors je me suis lancée dans cette aventure folle et extraordinaire.
L’Amérique au pair / 3.14 — Pourquoi as-tu choisi l’Amérique au Pair et pas un autre organisme ?
Mathilde — Honnêtement ce n’est pas le premier organisme dont on entend parler, mais c’est un organisme qui est à taille humaine et qui nous accompagne tout le long de l’inscription. Quand nous avons des coups de mou, l’Amérique au Pair est là pour nous remonter le moral et c’est vraiment un plus. Et je dois dire que côté financier, c’est très avantageux également. Dernière chose, et pas des moindres : la semaine de formation à New-York… ça c’est un spécial l’Amérique au Pair et c’est dingue !
L’Amérique au pair / 3.14 — Peux-tu nous en dire un peu plus sur ton placement ?
Mathilde — Ma famille est extraordinaire ! J’ai très rapidement ressenti une très grande complicité. Je suis clairement comme une grande sœur pour les enfant et non une « simple » Au Pair. Je travaille seulement pour le père ; je ne garde les enfants qu’une semaine sur deux, du fait de la séparation des parents en juillet dernier. Je m’occupe des trois enfants : des jumeaux de 7 ans (une fille et un garçon) et un plus grand de 9 ans. J’habite dans l’Idaho, un État dont je n’avais jamais entendu parler auparavant mais qui est juste génial à découvrir !
L’Amérique au pair / 3.14 — Est-ce que tu comptes voyager pendant ton séjour au pair ?
Mathilde — J’ai énormément de chance, car la famille m’intègre dans tous ses voyages. J’ai déjà été à Austin, au Texas. Je pars bientôt à Los Angeles pour passer quatre jours à Disney, j’ai trop hâte ! Et des voyages se préparent… comme Hawaï, la Floride, le Costa Rica, le Mount Rushmore !
L’Amérique au pair / 3.14 — Trouver sa famille d’accueil prend du temps. On sait que ce n’est pas une phase toujours évidente, car on est dans l’attente. Comment tu as vécu le processus de « matching » ?
Mathilde — Je me suis inscrite en janvier pour partir fin août, j’avais donc pas mal de temps devant moi. J’ai d’abord et très rapidement matché avec une première famille qui, au moment de finaliser m’a envoyé un message pour me dire que finalement ils ne voulaient plus d’Au Pair ! Cette réponse m’a vraiment questionnée et je me suis un peu remise en question. je dois dire que pendant plusieurs mois j’avais mis entre guillemets cette aventure.
Et puis j’ai décidé de replonger dans l’affaire. J’ai alors eu énormément de demandes, beaucoup de familles, notamment avec des enfants en bas âge, puisque j’avais la spécification pour les garder. Au moment de choisir, j’ai hésité entre deux familles. J’ai choisi celle avec qui j’avais le plus de points communs et le meilleur feeling, et j’ai donc laissé tomber celle qui semblait être la mieux localisée.
L’Amérique au pair / 3.14 — En tant que participante au program, tu partages ton temps entre la garde d’enfant et tes cours universitaires. Peux-tu nous donner un aperçu de ton planning ?
Mathilde — J’ai commencé les cours début octobre. J’ai la chance de pouvoir suivre huit semaines de cours intensifs d’anglais, et ce du lundi au vendredi, de 9h30 à 15h. Je suis inscrite à l’université de la capitale de l’État, donc je vis également le rêve universitaire américain. C’est assez fou. Je suis mélangée à plein de nationalités différentes donc cela me permet de découvrir également d’autres pays que les USA. C’est super.
Concernant les enfants, j’ai de la chance, car mon « Host Dad » les récupère après l’école et on se rejoint donc à la maison. Je les amène donc seulement le matin et m’en occupe quand ils sont rentrés.
L’Amérique au pair / 3.14 — Des conseils pour les futures au pair ?
Mathilde — Mon principal conseil est de ne jamais perdre espoir, de garder confiance en soi tout au long du processus d’inscription. N’ayez pas peur de votre niveau d’anglais non plus, car les familles sont au courant et sont très compréhensives sur ce point. Et mon dernier conseil est de ne vraiment pas être fermé à une destination, à un État que l’on ne connaît pas. Ils sont tous aussi géniaux les uns que les autres ! Ce n’est pas là que ça se joue !
